L’installation d’un NAS est un moment important pour un indépendant.

Mon infrastructure réseau supportera-t-elle la charge ? Le construire soi-même, acheter un du commerce, opter pour un équipement open source ?
Quelle quantité de fichiers vais-je mettre, dans un an, cinq ans, dix ans ? En terme de protection contre les coupure de courant, quelle puissance de l’onduleur dois-je choisir ?
Quelles fonctionnalités ai-je besoin pour bien travailler ?

Mon choix

Finalement, j’ai choisi un HPE Proliant MicroServer pour l’usage de NAS, acheté en fin d’année 2024.
Je remercie SQUALE INFORMATIQUE pour cette machine. Les fonctionnalités sont préinstallées et configurables via webmin et telnet.

L’accès à mes fichiers lors de mes déplacement reste important. Rien de plus rageant de s’apercevoir qu’il manque un fichier en rendez-vous clientèle. Le système OpenVPN a été ajouté à cette configuration.

Le boitier de mon fournisseur d’accès ne fait ni le serveur de DHCP ni point d’accès WiFi. En effet c’est plus sécurisant en cas de panne.
Le NAS a désormais la charge supplémentaire des fonctions pare-feu et serveur d’adresse IP (DHCP). Le système Oracle Linux 9 le gère très bien.
Pour la cohérence de l’aménagement des bureaux, le point d’accès wifi externe est installé géographiquement plus cohérent.

Je prévois pour mes clients un accès à mes dossiers de rendu. Probablement, un protocole sécurisé personnalisé de transfert de fichiers (Secure File Transfer Protocol) sera mis en place.
Pour se prémunir des coupures d’internet par l’intermédiaire de la box, je réfléchis à une solution de secours par l’intermédiaire d’une SIM 4G/5G.

Premières améliorations

J’ai profité de la trêve hivernale pour effectuer quelques travaux d’amélioration. L’aménagement du placard technique pour y installer plus proprement la box internet fibre et revoir l’installation du NAS.
Un onduleur pouvant tenir environ une heure sans courant protèqe tout ce petit monde.. Temps suffisant pour faire une ultime sauvegarde avant extinction des équipements.

Si vous vous demandez à quoi sert le fil à gauche du NAS, c’est pour brancher la sauvegarde sur site sur disque externe USB3.
Le choix s’est tourné vers un disque externe Crucial X10 Pro dont sa vitesse est suffisante. Avec l’intermédiaire de cron, le serveur lance les sauvegarde régulièrement.
Pour la sauvegarde hors site, je me tourne vers le cold cloud géographiquement installé en Europe.